I. PRÉSENTATION DU BIEN
Au cœur des Hauts de Couzé à BEAUCOUZE, le promoteur EIFFAGE IMMOBILIER a livré fin 2017, début 2018 deux bâtiments constitués chacun de 27 logements répartis sur 1 rez de jardin et 3 étages (soit 54 lots au total).
La résidence est composée de T2 et T3 avec balcons, terrasses et jardins privatifs. Chaque bâtiment est accessible dans les étages depuis des coursives extérieures raccordées sur une cage d’escalier doublée d’un ascenseur. L’accès aux appartements est contrôlé́ par un système d’interphonie INTRATONE installé et financé post-livraison par la copropriété. Chacun des appartements est associé à un parking extérieur.
Les images parlent d’elles même, que sont devenus nos belles façades aux enduits colorés aujourd’hui dégradés par une mise en œuvre douteuse et quel intérêt à maintenir des fosses inutiles dans les espaces verts réalisées hors cadre contractuel ? Pourquoi, les logements ne sont pas équipés de compteur d’eau ? Pourquoi les garde-corps des balcons sont insuffisamment sécurisés ? …Ces aspects seront développés dans la suite du document dans le volet juridique (procédure en justice initiée au Tribunal Judiciaire d’ANGERS (TJ)).
II. PRÉSENTATION DES ACTEURS
Les contractants :
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- La SCI familiale CAPITALCERISE, propriétaire du logement A12 sise 9 rue Etienne Rabouin 49140 SEICHES SUR LE LOIR
- Le Promoteur-Constructeur, EIFFAGE IMMOBILIER GRAND OUEST sise 11 route de Gachet CS 30705 NANTES CEDEX 3
Les intervenants :
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- La banque CREDIT MUTUEL sise 11 rue Gambetta 49500 SEGRE EN ANJOU BLEU
- Le syndic FONCIA ANJOU MAINE sise 5 Jardin Éblé 49000 ANGERS
- Le concessionnaire public ANGERS LOIRE METROPOLE sise 83 Rue du Mail 49000 ANGERS
Les conseils :
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- Le cabinet ANTARIUS Avocats SELARL sise 61 Boulevard du Maréchal FOCH 49100 ANGERS, intervenant pour le Syndicat de Copropriété
- La SELARL Haut Anjou Avocats sise 53 rue Victor Hugo – 49500 SEGRE EN ANJOU BLEU, intervenant pour la SCI CAPITALCERISE
- Le cabinet : G. BOIZARD – C. GUILLOU Avocats Associés sise 12 Rue Pierre Lise BP 90843 ANGERS CEDEX 01, intervenant pour FONCIA ANJOU MAINE
III. HISTORIQUE DE L’ACHAT
Notre histoire ou plutôt nos déboires ont pour origine un rendez- vous avec la caisse du CREDIT MUTUEL de Segré impliqué dans la commercialisation de biens immobiliers aux côtés du promoteur EIFFAGE IMMOBILIER GRAND OUEST. Ce premier contact s’est déroulé très exactement le 10 juin 2016 en présence de Monsieur M., Directeur de caisse et Madame D., Responsable Distribution Immobilière du CREDIT MUTUEL. C’est cette dernière qui s’est chargée de la formalisation de l’offre d’achat d’un appartement type T2 dans la résidence des Jardins du Couzé avec, pour incitation à la vente, la gratuité d’un pack exceptionnel de finitions (mail du 16/06/2016). S’il est vrai que le CREDIT MUTUEL n’apparait pas comme contractant dans l’acte de vente, il n’en est pas moins complice d’une vente exposée aujourd’hui à une procédure en justice pour des malfaçons observées dans les parties communes. Cette précision qui peut apparaitre anodine, est en réalité importante car la banque n’a jamais reconnu une quelconque responsabilité dans sa participation à la vente. Par mail du CREDIT MUTUEL du 17 juin 2016, le lot n°12 nous a pourtant été attribué avec l’information que le contrat de réservation était en cours de préparation. C’est le 02/07/2016 que le contrat de réservation de type VEFA a été signé par les parties à la caisse du CREDIT MUTUEL avec pour cette dernière nommément absente des pièces écrites de la transaction. Et pour cause …
IV. LES TRAVAUX DE CONSTRUCTION
Ils se sont déroulés dans le cadre d’un « contrat conception-réalisation » qui comportait une maitrise d’œuvre intégrée notamment en charge de faire appliquer les spécifications de la notice descriptive du contrat VEFA. Cette précision est importante car le cheminement des réseaux d’eau froide n’a pas été respecté, une non-conformité qui a conduit à la réalisation de fosses extérieures inaccessibles, le plus souvent remplies d’eau avec des trappes de fermeture difficilement manœuvrables.
La pose des comptages dans ces fosses n’a donc jamais eu lieu avec pour conséquence une facturation inégalitaire des consommations au tantième mais plus grave encore rendant impossible la localisation d’une fuite d’environ 500m3/an, soit 2500m3 (2 500 000 litres) en 5 ans.
Force est de constater une nouvelle fois l’immobilisme des intervenants ANGERS LOIRE METROPOLE et FONCIA ANJOU MAINE qui a aucun moment ne se sont mobilisés pour solutionner le sujet d’économie de l’eau pour le moins controversé sur le plan national.
V. LA LIVRAISON DE L’APPARTEMENT ET DES COMMUNS DU BATIMENT A DE LA RÉSIDENCE
C’est en fin d’année 2017 que le promoteur EIFFAGE IMMOBILIER GRAND OUEST a procédé à la livraison-réception des appartements dont le nôtre. Quelle ne fut pas notre surprise de découvrir des finitions bâclées pour tenir des délais tendus imposés notamment par la loi PINEL. Ce contexte inattendu de la part d’un Major du BTP nous a surpris car nous faisions une confiance aveugle à cette entreprise plébiscitée par le CREDIT MUTUEL ANJOU MAINE à l’origine de la vente. Les désordres en cause étaient nombreux, importants et concernaient plusieurs lots (défauts de planéité des carrelages, présence injustifiées de dénivelées entre les zones carrelées et les zones en parquet bois, huisserie extérieure d’accès au balcon voilée, …). Ce désagréable constat a constitué la première des déconvenue de travaux non conformes exécutés dans les bâtiments de la résidence, espaces communs compris. C’est sous notre pression et notre détermination que le promoteur s’est résolu à mettre en conformité notre logement, retardant ainsi sa livraison et mise en location de 2 mois, un engagement qui n’a malheureusement pas été reconduit lors de la réception des communs.
Pour mémoire, dans une copropriété c’est le syndic qui a la charge de réceptionner ces espaces, lesquels appartiennent à l’ensemble des copropriétaires.
On déplore que FONCIA ANJOU MAINE, le syndic retenu par le promoteur au début de l’opération immobilière, n’a pas fait preuve d’exigence mais de complaisance lors des opérations de réception faisant fi des remarques et des demandes du conseil syndical de l’époque, dont la SCI CAPITALCERISE faisait partie.
Et c’est là que commence notre désagréable histoire avec EIFFAGE IMMOBILIER GRAND OUEST
Pris dans un étau avec d’un côté FONCIA ANJOU MAINE sous le contrôle du promoteur qui lui a confié le contrat de syndic provisoire et de l’autre EIFFAGE IMMOBILIER un constructeur indélicat et malveillant qui voulait faire supporter les reprises des malfaçons et finitions aux copropriétaires une fois le délai de parfait achèvement expiré. Avec pour objectif de ne pas se laisser emmener dans ce traquenard délibérément concocté d’avance, il fallait trouver une parade en faisant appel à la justice.
Contraint par cette ambiance déplorable, la SCI CAPITALCERISE représentée par son gérant mais aussi conseiller syndical du moment, a rencontré un avocat aguerri à ce genre de conflit pour initier une procédure en justice destinée à protéger la copropriété de toutes charges de réparation injustifiées et donc indues. A ce stade et à défaut d’un chiffrage précis des réparations issu de l’expertise, l’enveloppe de travaux peut raisonnablement s’estimer entre 10% et 15 %du coût de l’opération soit selon nos informations entre 600 k€ et 900 k€.
L’assignation en justice a été notifié par le Tribunal Judiciaire d’Angers le 20 novembre 2018.
VI. PROCÉDURE JUDICIAIRE EN COURS INITIÉE PAR LE SYNDICAT DE COPROPRIÉTÉ À L’ENCONTRE D’EIFFAGE IMMOBILIER GRAND OUEST
C’est le cabinet ANTARIUS Avocats qui a obtenu du Tribunal de Grande Instance d’Angers statuant en référé, la nomination d’un expert judiciaire aux fins de lui permettre de statuer sur les points suivants :
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- Visiter, en présence des parties ou celles-ci dûment convoquées, l’immeuble litigieux, le décrire et dire s’il présente les désordres et non-conformités allégués par le Syndicat des copropriétaires.
- Dans l’affirmative, énumérer et décrire les désordres et non-conformités constatés et en indiquer la nature, ainsi que leur importance.
- Indiquer si les désordres sont apparus avant ou après la livraison des travaux dont l’expert précisera la date et les conditions dans lesquelles elle est intervenue.
- Dire quelles sont les causes de ces désordres et non-conformités en précisant s’ils sont imputables à une erreur de conception, à une faute d’exécution, à la mauvaise qualité des matériaux mis en œuvre, ou à toute autre cause que l’expert indiquera.
- Dire quels travaux sont nécessaires pour remettre l’immeuble en l’état où il aurait dû se trouver au jour de la livraison des ouvrages ou pour le rendre conforme aux prescriptions du marché conclu entre les parties ; en évaluer le coût et la durée d’exécution.
- Dire si, après l’exécution des travaux de remise en état, l’immeuble restera affecté d’une moins-value et donner, en ce cas, son avis sur son importance.
- Evaluer le préjudice subi par le Syndicat des copropriétaires du fait des malfaçons, désordres et non-conformités constatés (trouble de jouissance notamment).
- D’une façon générale et dans le cadre de la mission ci-dessus définie, rechercher tous éléments techniques et de fait, de nature à permettre à la juridiction compétente, d’apprécier les responsabilités encourues et d’évaluer les préjudices éventuellement subis.
- Répondre à tous dires écrits des parties et au besoin, entendre tous sachants.
Le compte rendu n°1 d’expertise, accablant le Constructeur EIFFAGE IMMOBILIER était adressé aux parties le 05/03/2019. Il statuait sur les désordres et malfaçons relatifs :
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- A la non-conformité de l’alimentation en eau (non conforme à la notice descriptive et rendant impossible l’installation de compteurs individuels)
- A l’état des façades (cloques, traces de reprises des bétons, reprises de fissures, des coulures et autres traces de salissures)
- Aux réservations au droit des portes d’accès aux coursives
- Aux traces d’humidité au droit des coursives sur les façades et en sous face des coursives
- Aux défauts d’engazonnement
- Au manque de signalétique
- Aux défauts de finition de peintures intérieures et aux décollements des sols sur les coursives
EIFFAGE IMMOBILIER ne manque pas d’user de renvois successifs pour retarder sciemment la procédure judiciaire initiée à son encontre il y a près de 6 ans en appelant à la cause de nouvelles entreprises. Il est important de rappeler qu’EIFFAGE IMMOBILIER a agit en qualité d’entreprise générale et qu’elle a sous-traité la réalisation de certains lots à d’autres entreprises identifiées :
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- Lot GROS ŒUVRE : EIFFAGE CONSTRUCTION
- Lot RAVALEMENT : ISORE FINITION
- Lot ELECTRICITE : BAUDOUIN
- Lot ESPACES VERTS : LINEA VERDE
- Lot TERRASSEMENT VRD : COURANT
- Lot MENUISERIES EXTERIEURES ALU : ROUSSEAU
- Lot SOLS SOUPLES : FREMY
- Lot ASCENSEUR : ORONA
- Lot CLOISONS : BOURRIGAULT
A mi-2024, dans le contexte d’une expertise judiciaire à l’arrêt, où le syndic FONCIA ANJOU MAINE maladroitement soutenu par un Conseil Syndical inopérant, la SCI CAPITALCERISE a tenté, amiablement, en vain d’être associée aux opérations d’expertise. Par la voix de son Conseil le Cabinet Haut Anjou Avocats, elle n’a d’autre choix que de saisir le juge des référés pour obtenir, au besoin, son droit à l’objection.
Dans cette période, la SCI CAPITALCERISE, se substituant au Syndic et son Conseil Syndical asservi, a obtenu un entretien, d’apparence courtois et constructif, avec le Directeur des Ventes d’EIFFAGE IMMOBILIER GRAND OUEST. Monsieur B n’a pas manqué de se montrer très critique à l’égard de la firme qu’il représente surtout dans le cadre du projet « Les Résidences du Couzé », trahissant même le spectre d’une collusion initiale forte avec le syndic FONCIA ANJOU MAINE nommé par le Constructeur. Monsieur B n’a contredit aucun des griefs exposés par la SCI CAPITALCERISE, mais n’y a donné, comme il le fit par le passé, aucune suite, malgré ses engagements.
VII. PROCÉDURE JUDICIAIRE EN COURS INITIÉE PAR LA SCI CAPITALCERISE À L’ENCONTRE DU SYNDICAT DE COPROPRIÉTÉ PRISE EN LA PERSONNE DE FONCIA ANJOU MAINE
Le comportement du syndic FONCIA ANJOU MAINE se distingue par des manquements répétés et une incompétence démontrée dans la gestion de la copropriété avec pour conséquence de contraindre la SCI CAPITALCERISE à s’impliquer dans les sujets à défendre, ceci dans l’intérêt de la copropriété et des copropriétaires.
Dans son intérêt commercial, le syndic FONCIA ANJOU MAINE s’est asservi à la cause du constructeur en retardant les réceptions de travaux avec l’objectif de faire supporter aux copropriétaires les coûts de finalisation des travaux au-delà de l’année de parfait achèvement.
Pour parfaire son comportement fallacieux, le syndic FONCIA ANJOU MAINE n’hésite pas dans sa mission principale à tromper les copropriétaires notamment lors des assemblées générales ordinaires (obligatoires une fois par an) en :
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- truquant les comptages des votes
- ne mettant pas au vote certaines résolutions de l’ordre du jour
- sollicitant directement le conseil syndical, inféodé, pour présider la séance
- oubliant délibérément d’ajouter à l’ordre du jour des résolutions complémentaires adressées en temps et en heure
- ne respectant pas les délais de convocation
- etc….
Tout ceci sans aucun contrôle du Conseil Syndical qui doit pourtant assurer ce rôle tel qu’imposé par la loi de 1965.
Ni le syndic FONCIA ANJOU MAINE, ni le Conseil Syndical ne se sentent investis de la mission de reporting auprès des copropriétaires, notamment au regard des procédures judiciaires en cours, voire des rapports de visite trop souvent bâclés et sans consistance. Manifestement incompétents techniquement, le duo ne fait aucune proposition d’amélioration de la résidence, pire, il n’écoute pas les interventions des copropriétaires plus aguerris par leurs expériences professionnelles. A titre d’exemple, la fuite d’eau identifiée depuis 2018 n’est toujours pas localisée et n’est toujours pas réparée.
Le syndic FONCIA ANJOU MAINE n’hésite pas à faire supporter aux copropriétaires un risque judiciaire, au niveau de garde-corps de balcons et de cages d’escaliers insuffisamment sécurisés en négligeant les observations émises par les contrôleurs techniques de la phase construction, puis celles de la phase dommage ouvrage.
La réaction du Syndicat de copropriété à son assignation en justice s’est manifestée par une résistance abusive, conscient des manquements avérés de son syndic FONCIA ANJOU MAINE en produisant des écritures mensongères et non pertinentes. 2 injonctions et 8 mois de délai ont été nécessaires pour qu’enfin des conclusions soient rédigées et transmises au juge. Aujourd’hui, nous restons dans l’attente des annexes annoncées par le Conseil du syndic FONCIA ANJOU MAINE malgré 2 injonctions adressées par le Juge.
VIII. LES CONCLUSIONS DE LA SCI CAPITALCERISE
La SCI CAPITALCERISE ne peut pas se résigner à croire que toutes les opérations immobilières sont la source d’autant de tracasseries. C’est vraisemblablement la malchance, peut être un excès de confiance dans la publicité ou encore une mauvaise rencontre avec l’incompétence qui est en cause. Eh bien sans hésitation, c’est cette dernière hypothèse qu’il convient de retenir dans notre cas :
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- parce que le métier de la banque n’est pas de promouvoir l’immobilier où elle est incompétente mais de le financer (CREDIT MUTUEL ANJOU MAINE),
- parce que le Directeur de projet de l‘opération est intéressé à l’économie de projet de la seule phase réalisation, ce qui explique le désintérêt qu’il peut porter aux mises à niveau, réfections et réparations post mise en service (EIFFAGE CONSTRUCTION GRAND OUEST),
- parce qu’il existe une connivence connue entre promoteur et syndic qui s’accordent dans les phases en amont (FONCIA ANJOU MAINE – EIFFAGE CONSTRUCTION GRAND OUEST).
Cette façon de faire du promoteur et du commercialisateur relève d’une pratique déloyale et abusive envers le Client qui méconnait le plus souvent les articulations et les difficultés d’un grand projet immobilier. Ce comportement critiquable du vendeur en flouant l’acheteur peut dans certains cas impacter durement le volet « économie » de l’acheteur engagé dans l’investissement d’une vie en se croyant en toute confiance…
Une autre incidence à ne pas négliger que fait courir le vendeur à son acheteur, est le risque d’une dépréciation, du fait de la vétusté prématurée du bien, en cas de revente et dont l’impact serait intégralement supporté par le Client.
Les circonstances aggravantes de notre histoire sont désormais connues et identifiées, une forme de propagande entretenue par un conseil syndical ignare et incompétent dont la seule préoccupation est de maintenir et de soutenir, par erreur un syndic défaillant en l’occurrence FONCIA ANJOU MAINE. Ceci ne serait pas si grave si la propagande se diffusait dans un contexte de copropriétaires éclairés sachant faire la part des choses. Dans le cas de notre résidence, beaucoup de copropriétaires dépassés par l’ampleur et la complexité des échanges (courriers officiels, mails, réunions, etc…) se sont désintéressés de l’action en justice initiée par la SCI CAPITALCERISE qui supporte seule les frais de procédure et de défense des intérêts de la copropriété évalués à ce stade à plus de 5 000 €.
Nous souhaitons à nos lecteurs d’avoir découvert, peut être redécouvert les aléas d’un investissement immobilier dans l’environnement d’une société civile qui a changé et résolument installée dans la recherche du profit à tout prix et quelle qu’en soit la méthode. Nous mettons au défi quiconque, impliqué dans ce programme, de démentir nos propos rédigés en toute sincérité et pour une juste cause commune.
Pour la SCI CAPITALCERISE :
Les co-gérants Delphine KIRSCH et Jean-Philippe KIRSCH.